Janvier 2017 - Sciences
Château d’Argent
Centre de Formations continues
Physique: Janvier 2O17
Danielle Vincent : Une théorie de l’univers.
L’univers est un champ magnétique elliptique, comprenant deux pôles qui constituent les deux foyers de l’ellipse.
Ce champ magnétique tourne sur lui-même par l’effet des pôles qui s’attirent.
Il rassemble, par sa force d’attraction, l’ensemble des corps célestes.
Au niveau des pôles, il y a une concentration d’éléments si intense, qu’elle implose régulièrement.
Le champ magnétique imprime aux éléments qui le remplissent, le mouvement, le rythme du temps, ainsi qu’une force centrifuge.
Cette force centrifuge tend à les éloigner des centres.
Les corps célestes, lorsqu’ils s’éloignent de l’axe magnétique par l’effet de la force centrifuge, acquièrent une mobilité accrue. Ensuite, en échappant à la force d’attraction, ils ralentissent et finissent par devenir des corps immobiles, non éclairés et sans vie.
Il y a un cimetière de corps célestes morts en dehors de l’univers magnétique.
Dépourvus de toute force de cohésion, ils se désintègrent peu à peu et retombent en poussières de particules. Ces particules légères sont récupérées par la rotation de l’ellipse. Les mouvements d’expulsion et de réintégration se produisent simultanément.
L’énergie magnétique concentrée au niveau des pôles produit de la masse.
Cette masse implose par intervalles réguliers et produit de l’énergie lumineuse.
L’énergie magnétique de l’univers est antérieure à l’énergie lumineuse.
Rien n’est unique dans l’univers.
Une chose qui existe à un endroit existe ailleurs et un phénomène qui se produit à un moment donné, se produit souvent.
On peut en déduire qu’il y a non seulement une multitude de terres et d’humanités, une multitude d’histoires telles qu’en ont vécues les Etats, mais aussi une multitude d’univers.
L’esprit humain est capable de se les représenter , car la notion de grandeur n’a plus de sens ici ; elle n’existe que par comparaison. Mais les notions de temps et d’espace doivent être prises en compte.
Ainsi, ce qui est pour nous du passé, est, en ce moment le présent, le futur, ou également le passé d’autres humanités.
Et chaque être a déjà existé ou va exister ailleurs. Mais il l’ignore, et ne sait pas où. Peut-être qu’un jour nous saurons nous repérer dans l’univers comme sur la terre.
Nous ne sommes pas uniques dans les espaces, mais nous pouvons dire que nous sommes, avec notre histoire, une de leurs normes, puisque nous existons.
On se demandera d’où vient le champ magnétique qui contient les corps célestes ?
Je répondrai : qu’est-ce que l’esprit ?
La réponse métaphysique à la question de l’origine première des univers est aujourd’hui incontournable.
D.V.
1O février 2O17
Max PLANCK
Max Planck est né à Kiel, en Allemagne, en 1858.
Il a fait ses études de physique à l’université de Munich. C’est là qu’il développa ses théories sur les quanta d’énergie. Ces recherches lui valurent le prix Nobel de physique en 1918. Albert Einstein devait développer plus tard ces idées qui, chez Planck, étaient restées dans le domaine de la pure théorie, et les appliqua à la réalité concrète.
Max Planck a connu une vie familiale dramatique, avec la mort de son épouse en 19O9, de son fils aîné pendant la première guerre mondiale, puis de ses deux filles. Son dernier fils, impliqué dans l’attentat contre Hitler, fut exécuté en 1944. Pendant ce deuxième conflit mondial, sa maison fut bombardée à Berlin et ses travaux détruits.
Il mourut en 1947.
La théorie des quanta :
On pensait jusqu’alors, que le rayonnement de la lumière était émis selon un spectre continu. Planck suggère que le rayonnement d’un corps non éclairé, mais produisant lui-même de la lumière (appelé « corps noir « ) n’est pas uniforme. Sa lumière est, au contraire, véhiculée par fragments ou paquets discontinus : les « quanta ». Einstein a confirmé cette hypothèse dans les années 19O5, en expliquant l’effet photoélectrique. Pour lui, les paquets discontinus d’énergie sont bien une propriété de la lumière.
La Constante de Planck :
Voici la formule appelée constante de Planck :
6,62 x 1O (puissance -27) erg par seconde.
La fréquence (n) d’une radiation lumineuse est liée à une énergie (e).
Cette énergie est égale à la fréquence multipliée par la constante de Planck (h) :
e = nh
Energie = fréquence x ( 6,62 x 1O puissance -27) erg par seconde.
D.V.
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